Innocent (sic) Armenians oppressing the other Christians
As modus operandi of Dashnak (Nazi) Armenians to demonize Turks (out of all ethnic groups of Ottomans) and create a discriminatory environment for Turks (of course, with the bona fide (sic) support of parliaments and government of our western friends (sic) and allies (sic)), Dashnaks played the innocent, pretending that they have been murdered out of blue, falsely representing the massacres which were mostly staged on them by KURDS, as genocide.
Let's look at what British Foreign Office says about their myth of innocence.
So read yourself and let the truth be told.
No More Discrimination
No. 200
Sir A. H. Layard to the Marquis of Salisbury.
No. 433.
My Lord, | THERAPIA, May 24, 1879. (Received June 6.) |
MAJOR TROTTER, in his despatch to me of the 16th ultimo, copy of which was transmitted by him to your Lordship, having called my attention to the ill- treatment of Protestants in the Vilayet of Diarbekir by other Christian sects, and especially by the Orthodox Armenians, I directed Dragoman Marinich to bring the matter to the notice of the Armenian Patriarch, and to warn his Beatitude that he could not expect me to countenance acts of religious persecution committed either by Mussulmans or Christians, and to intercede with the Porte on behalf of the Armenians when they had cause for complaint if they were guilty of oppressing and persecuting their fellow-Christians. I have the honour to inclose copy of a Memorandum from Mr. Marinich, reporting the steps that he had taken in the matter.
I have, &c.
Turkey No. 10 (1879), p. 78, No 40 | (Signed) A. H. LAYARD |
F. O. 424/84, p. 55, No. 92
Inclosure in No. 200
M. Marinicli to Sir A. H. Layard.
M. l’Ambassadeur,PERA, le 23 Mai 1879.
SUIVANT les instructions de votre Excellence, je me suis rendu chez le CaImacam du Patriarche Arménien démissionaire, pour me plaindre des mauvais traitements auxquels sont victimes les Protestants dans le district de Sert, ainsi que le rapporte M. le Major Trotter, dans sa dépêche, en date du i6 Avril dernier.
Je n’ai pas manqué de faire ressortir toutes les consequences fâcheuses auxquelles peut facilement donner lieu une telle persecution.J’ai eu soin d’ajouter que si cet état de choses continuait, qu’il ne fallait pas s’attendre a voir votre Excellence intervenir désormais en faveur des Arméniens lorsque ceux-ci seraient l’objet de mauvais traitements comme ceux qu’ils font subir a leurs frères les Protestants; j’ai conclu en disant que votre Excellence était fermement persuadée que le Patriarcat, ne tolerant pas cette persecution religieuse, se serait empressé de transmettre des ordres a ses autorités religieuses dans le Vilayet de Diarbékir, afin que l’on mette un terme a ces faits regrettables.
Le CaImacam du Patriarche Arménien s’est montré très-peiné d’apprendre le récit queje lui ai fait. Ii m’a prié d’informer votre Excellence qu’il se fera un devoir de transmettre par le courrier prochain les ordres les plus formels a ces autorités ecclesiastiques dans le Vilayet de Diarbékir pour que désormais les Arméniens ne se livrent plus a des actes repréhensibles qu’il considère comme contraire au Christianisme ainsi qu’à l’esprit d’humanité et de civilisation du siècle oü nous vivons. Toutefois, comme les faits rapportés par le Major Trotter n’ont pas eu lieu dans les villes, mais se sont produits dans les campagnes par des individus sans education, il ne faudrait pas, m’a dit le Caimacam du Patriarche, faire retomber l’odieux de ces actes isolés sur toute la nation Arménienne, qui desire vivre en parfaite harmonie avec les Protestants. Aussi, il prie instamment votre Excellence de vouloir bien continuer comme par le passé a protéger et défendre les intérêts des Arméniens. Le Patriarcat de son côté ne manquera pas de donner les instructions nécessaires pour qu’à l’avenir de pareils faits ne se renouvellent plus. LeCaImacam du Patriarche m’a fait remarquer que l’Evêque de Diarbékir s’était empressé, comme le dit du reste le Major Trotter, de recommander a ses ouailles d’éviter les conflits religieux avec les Protestants, conflits que dans l’état actuel de choses, a dit le CaImacam, ne manqueraient pas de produire de funestes effets sur l’esprit des Mussulmans, qui se sentiraient autorisés a exercer aussi de leur côté des actes d’oppression et d’injustice envers les Chrétiens.
En même temps, j’ai informé le CaImacam du Patriarche que la nommée Anna, qui avait été mariée précédemment a tin Protestant, continuait, contrairement aux ordres catégoriques et péremptoires du Patriarcat, a vivre dans la maison de l’individu avec lequel l’Evêque du Diarbékir l’avait remariée illégalement.
Le CaImacam du Patriarche m’a donné lecture du telegramme qu’il venait de recevoir de l’Evêque Philipos, dans laquelle ii est dit que la susdite Anna avait été séparée de son second man Casandjian, et placée dans Ia maison da sa mere. Mais comme Casandjian, en dépit de la defense des autorités ecclésiastiques, allait de temps en temps la voir, l’Evêque Philipos informait le Patriarcat qu’il se proposait de recourir a l’intervention de l’autorité locale pour empêcher Casandjian de frequenter la maison de sa belle-mere.
J’ai, &c.
(Signe) HUGO MARINICH.
F. O. 424 / 84, p. 55-56, No. 92 / I
Turkey No. 10 (1879), p. 79, .No. 40/1